Sous WordPress, avec une galerie NextGEN qui utilise l’effet thickbox, pour faire défiler les images à l’aide des touches directionnelles du clavier (les flèches gauche et droite il faut procéder comme suit :
Dans le fichier “wp-includes/js/thickbox/thickbox.js“, trouver ce bloc de code :
Paramètre Max Packet Size pour les grosses requêtes
Il faut augmenter la valeur du paramètre max_allowed_packet dans le fichier de configuration de MySQL pour permettre de gérer les grosses requêtes : principalement pour les tables qui contiennent des BLOB et CLOB qui peuvent être volumineux.
Méthodes
Éditer le fichier my.ini
Ajouter ce qui suit dans la section [mysqld] du fichier de configuration
#Max packetlength to send/receive from to server.
max_allowed_packet=8M
Utiliser l’interface graphique MySQL Administrator
Modifier le paramètre dans l’interface graphique comme dans la capture d’écran suivant :
Importer une base de Windows à Linux
La gestion des noms de tables est configurée différemment par défaut sous Windows ou Linux :
Sous Windows il ne tient pas compte de la casse,
Sous Linux il en tient compte.
Le passage du contenu d’une base de données d’un OS à un autre peut donc être problématique, principalement dans le sens Windows -> Linux. En effet, faire le dump depuis Windows va minimiser tous les noms de tables. Et si jamais le code source de votre application référence les tables avec des majuscules, cela peut posser des soucis. Surtout qu’il n’est pas toujours possible de re-écrire le code pour n’utiliser que des noms de tables en minuscules. Voici les solutions que j’utilise dans ces cas-là.
Choix 1 : Modifier la configuration du MySQL sous Linux
Pour importer une base MySQL depuis une machine Windows vers une machine Linux, il est possible de configurer le serveur MySQL sous Linux avec le paramètre lower_case_table_names à 1. Pour cela, éditer le fichier my.ini et placer dans la section [mysqld] la ligne suivante :
Si il n’est pas possible de modifier la configuration du serveur MySQL sous linux, il reste la solution – beaucoup plus sport – qui consiste à modifier le fichier de dump. En fait, il va falloir diviser le dump en deux fichiers :
Le premier fichier qui ne contient que la structure de la base : dump.struct.sql Il peut être créé avec la commande suivante :
Le deuxième fichier qui ne contient que les données de la base : dump.data.sql Il peut être créé avec la commande suivante (–hex-blob pour exporter les binaires en hexadécimal et –extended-insert=false pour avoir une commande INSERT par enregistrement) :
Et importer le fichier dump.struct.upper.sql résultant dans la base.
Pour le fichier dump.data.sql
Là c’est un peu plus compliqué, car on ne veut pas tout mettre en majuscules, car ce fichier contient aussi les données des différentes tables de notre base.
Note : il est à rapeller que le fichier dump.data.sql ne contient qu’une ligne de données – ie un INSERT – par enregistrement de chaque table.
Utiliser la commande ‘awk‘ pour modifier les commandes ‘INSERT INTO‘ et ‘LOCK TABLE‘ comme suit – chaque commande awk doit être sur une seule ligne :
En fonction de la structure du fichier d’import des données, il se peut que le nom des tables soit utilisé dans d’autres commandes, comme par exemple des commandes pour ignorer les intégrités référentielles : ALTER TABLE `une_table` DISABLE KEYS. Il faut dans ce cas se baser sur les scripts ci-dessus pour créer un nouveau qui corrigera ce problème.
Il n’y a plus qu’à importer le fichier dump.data.upper.sql dans la base MySQL.
J’ai souvent des problèmes avec la numérotation des titres sous OpenOffice.org Writer. J’utilise logiquement les styles pour définir mes titres de paragraphes mais je ne trouvais pas pratique d’affecter la numérotation correspondante. Je passais par le menu “Format > Bullets and numbering…” (Dans la version française c’est “Format > Puces et numérotation…“).
En fait ce n’est pas ce menu qu’il faut utiliser, mais “Tools > Outline numbering…” (Dans la version française c’est “Outils > Numérotation des chapitres…“). Choisir le niveau (Level) de 1 à 10 (1-10) et affecter la numérotation désirée.
Simple, mais pas dans le bon menu je trouve. Il suffit de le savoir.
Le but de ce document est d’expliquer les tunnels SSH. C’est à dire comment utiliser SSH pour faire passer différents protocoles, ce qui permet de sécuriser la communication (une sorte de VPN software). Si vous souhaitez plus de détails sur les différentes possibilités, cet article de Buddhika Chamith vous éclairera : SSH Tunneling Explained.
Quand on se connecte à Internet depuis un lieu public et si ce lieu de connexion ne permet pas d’accéder à des ports particuliers d’un serveur (règles de firewall restrictives), il est possible d’utiliser un serveur intermédiaire sur lequel on a un compte utilisateur et qui fait tourner un serveur ssh. C’est ce serveur qui se connectera au serveur désiré. Cette solution va aussi permettre de chiffrer la communication entre le point d’accès et le serveur intermédiaire.
Pour réaliser cela, on va utiliser un tunnel SSH. Il faut donc que l’on ai accès au port 22 du serveur intermédiaire, mais dans 90% des cas les firewalls laissent sortir le trafic sur ce port.
Le principe
Il faut créer une connexion ssh entre le pc client et le serveur intermédiaire. Cette connexion (le tunnel donc) connectera un port du pc client au serveur intermédiaire. Celui-ci va lire tout ce qu’il reçoit depuis cette connexion et re-expédier le tout vers le serveur destinataire.
attention : sous Linux, on ne peut pas connecter le tunnel sur un port local privilégié si on n’est pas root. Il faut donc prendre un port au dessus de 2000.
Exemple
Je veux lire mes mails par un accés imap. Mon serveur imap est imap.mail.com et je l’interroge sur le port 143 (le porte par défaut IMAP). Mais le firewall ne laisse pas sortir les connexions vers le port 143.
Je vais donc établir un tunnel SSH entre le pc que j’utilise et un serveur sur lequel j’ai un accés ssh. Ce serveur s’appelle monserveurssh.com et j’ai un compte utilisateur de login moncompte. Je vais connecter le tunnel sur le port 2000 de mon pc client, comme suit :
Cette commande ne me connecte pas sur le serveur intermédiaire, mais me rend la main de suite grâce a l’option -f combinée avec l’option -N. L’option -2 c’est pour demander à ssh d’utiliser le protocole v2 et l’option -C c’est pour demander de compresser le tunnel.
Il ne me reste plus qu’à brancher mon client mail sur le port 2000 de localhost, et je pourrai lire mes mails, comme si j’étais connecté directement au serveur de mails.
Un détail sécurité
Quand je créé des comptes utilisateurs sur mon serveur juste pour permettre du port forwarding je ne donne pas le droit de connexion au serveur. Pour cela, dans le fichier /etc/passwd je remplace le shell du compte par /sbin/nologin. Ainsi la personne qui a ce compte peut créer des tunnels SSH mais elle ne peut pas se connecter au serveur.
Sous Windows
En utilisant Cygwin et le client ssh fourni avec, cela fonctionne très bien. Putty permet aussi d’établir des tunnels pour ceux qui sont réfractaires à la ligne de commande.
On peut utiliser ssh pour faire un backup d’une machine distante (pratique pour conserver une copie d’un site web, en ne téléchargeant que ce qui a changé depuis le dernier backup) avec rsync
rsync -v -u -a --rsh=ssh --stats user@serveur.net:/chemin/dossier/distant/a/sauver /chemin/dossier/local
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