J’ai rapidement mis en ligne ce que j’appelle la version 1.a. Il est donc maintenant possible de trouver et d’afficher son adresse IP via ipso.me.
J’ai mis à disposition le code source du projet sur Kenai.com (en). Leur service est vraiment clair et pratique. J’ai ouvert un dépôt Mercurial : http://kenai.com/projects/ipsome/sources/hg/show (en). Je découvre l’utilisation d’un gestionnaire de code décentralisé, je ne suis pas encore 100% à l’aise avec car cela change de SVN, mais c’est assez pratique. Il faudra qu’un jour je prenne le temps de lire Subversion Re-education (en).
Pour l’instant le code est vraiment minimaliste, il y a juste un contrôleur qui récupère l’IP du client et la passe à une vue. Mes premières impressions sur l’utilisation de Play! Framework (en) sont très bonnes. C’est vraiment très simple à mettre en place, très simple pour commencer, le tutoriel de départ est bon. J’ai d’ailleurs fait cette version 1.a directement en suivant le tutoriel “Première application (en)” .
Pour le style, j’ai récupéré un template que j’ai déjà utilisé par ailleurs, il a l’avantage d’utiliser le framework CSS1140 CSS Grid (en) qui permet de s’adapter à la largeur de l’écran. Le rendu s’adapte jusqu’aux résolutions des smartphones.
Ce qu’il me reste à faire pour avoir une vrai version 1 :
Sous WordPress, avec une galerie NextGEN qui utilise l’effet thickbox, pour faire défiler les images à l’aide des touches directionnelles du clavier (les flèches gauche et droite il faut procéder comme suit :
Dans le fichier “wp-includes/js/thickbox/thickbox.js“, trouver ce bloc de code :
Si vous installez Tomcat sur un GNU/Linux depuis une archive binaire récupérée d’Apache et lancez tomcat via “./startup.sh” vous risquez d’avoir le message suivant :
The BASEDIR environment variable is not defined correctly
This environment variable is needed to run this program
Pour éviter cela, il faut d’abord vérifier que “JAVA_HOME” et “CATALINA_HOME” soeint bien définis comme cela est spécifié dans le fichier “RUNNING.txt” livré avec l’archive de Tomcat.
Ensuite il faut surtout vérifier que les fichiers “bin/startup.sh” “bin/shutdown.sh” et “bin/setclasspath.sh” soient bien exécutables. Quelque chose du genre :
J’ai trouvé un nom qui va avec un domaine disponible : ipso.me. Bon, maintenant, bien entendu le domaine n’est plus disponible. Pourquoi ipso ? Car c’est court, le domaine en .me est libre. Il contient IP qui fait bien référence à l’adresse IP qu’on veut arriver à déterminer. Le so peut faire référence à « solve » ou « solution ».
IP + SOlve = ipso. Le “.me” indiquant qu’il s’agit de résoudre mon adresse ip.
Ça me parait bien. Le projet sera donc nommé « ipso.me » et ce sera à la fois le nom du projet et du domaine.
La forge
Pour la forge, j’ai envie de tester le système de gestion de version Mercurial. Je m’oriente donc vers la plateforme Kenai qui est très bien intégrée à Netbeans, l’IDE que j’utilise couramment. Depuis le rachat de Sun par Oracle, il était question que Kenai disparaisse pour laisser la place à java.net qui utilise maintenant la plateforme Kenai. Mais il semble que les deux sont actifs en simultanés. Donc on verra, il sera toujours temps de changer. Les autres choix possibles pour Mercurial sont :
Construire une application web permettant d’afficher l’adresse IP des visiteurs. Afficher le maximum d’informations sur :
utilisation d’un proxy,
localisation,
IP dynamique ou statique
Ce projet sera développé de façon itérative et doit me permettre de tester diverses technologies. Le code sera en Java et open-source sous licence Apache 2.0.
Prévision de versions
Version 0 :
Trouver un nom au projet,
Trouver un nom de domaine pour l’installation publique,
Trouver une forge où publier l’application
Version 1 :
Afficher l’adresse IP du visiteur,
Mettre en ligne l’application,
Publier le code sur la forge choisie
Version 1.1 :
Afficher les informations sur l’utilisation de proxy
Version 1.2 :
Afficher les informations de localisation de l’IP via une base de localisation
Version 1.3 :
Permettre à l’utilisateur de tracer ses changements d’adresse via un cookie, ainsi depuis un même poste, il pourra déterminer si il a une adresse IP dynamique.
Version 1.4 :
Si l’utilisateur le permet et si son navigateur le supporte, demander la localisation de l’utilisateur.
Version 2.0 :
Permettre à l’utilisateur d’avoir un compte sur l’application, proposer plusieurs systèmes d’authentification :
Système interne au site,
OpenID
Facebook
Google
Avoir un compte permet de :
Avoir un historique de ses IP, localisations
Supprimer son compte et ainsi effacer toutes les données
La collecte d’information va nécessiter une déclaration à la CNIL